Les nuisibles de l’éducation nationale ont encore gagné.

Les contempteurs de l’instruction, installés tout confort dans l'éducation nationale, dont le seul objectif de fonctionnaires inutiles, est de fuir toute responsabilité, tout contrôle de leurs compétences, ne souhaitent qu’une chose : « niveler par le bas », pour que leur propre niveau paraisse supérieur ou au moins similaire !

Toute volonté politique se heurte à cette masse irresponsable de parasites.

Des groupes de niveau ?

Et pourquoi pas être obligé de travailler, en plus ?

Des blouses ou des uniformes ?

Et comment vais-je faire pour savoir quel parent peut être utile ?

Le grand suffisant impose un complice, à savoir Beloubet.

Elle a déjà fait ses preuves de déconnexion, au moins, lors de son passage au ministère de la justice…

Postes de juges d’instruction selon les résultats des élections, affaire Mila, remise en cause du droit d’enquête des parlementaires, libération des délinquants, etc, etc…

N’oubliez pas que ce ministère de l'éducation est l’un de ceux qui ont été offerts, en sortie de guerre, au parti communiste (Henri Wallon 20 août 1944) et que la formation des futurs électeurs fait partie de toute volonté de dictature, tenue par des apparatchiks ou autres petits chefs, dont la seule « qualité » est de respecter les consignes du petit chef au-dessus….

Il y a eu quelques tentatives de lutter contre l'instruction, dans certains pays (précurseurs ?), grâce à la rééducation de masse, comme en Chine ou au Cambodge.

J'ai l'impression qu'aujourd'hui, en France, il n'y aura pas besoin de rééducation. L'éducation suffira!

Incidemment, il n’est pas inutile de rappeler que jusqu’en 1932, ce ministère s’appelait « de l’instruction publique et des Beaux-Arts ».

Retrouver cet objectif relèverait de l’utopie, ou, au moins d’une forme d’humour noir !

Tout pouvoir tend, en effet, à formater les citoyens en « bons administrés ».

Et en l’absence d’hommes politiques dignes de ce nom, (pas les fonctionnaires ou assimilés que nous avons maintenant), il devient aisé pour les idéologues et les corrompus de l’abaissement de mettre à bas, la plus grande partie de la population.

Seuls seront « sauvés » les enfants des prétendues élites, qui sont submergées par les chercheurs en carnets d’adresses et l’entre-soi…

Ce n'est plus le talent, ce ne sont plus les compétences qui élèvent, mais le sexe, les orientations sexuelles, la couleur, l'origine ethnique ou autres copinages et dossiers de pression...

Sinon, c’est 200 mots et la batte de baseball…

Et surtout aucun risque d’esprit critique divergent.

La majorité des « enseignants », ne voulant que le bien de leurs élèves et surtout ne pas être celui qui dit la vérité, suivent les consignes des rectorats (Où est passée Beloubet, d'ailleurs, celui de Limoges) et autres instances, en accordant les diplômes à tous.

Ce sont les mêmes qui ne supportent pas qu’il existe encore des établissements d’excellence.

Sauf pour leurs descendances, bien sûr et que, surtout, on n’en parle pas, avec le « danger » de la comparaison que cela représenterait !

Il suffit de voir la réaction des "enseignants", lorsque l'ancien ministre a reconnu avoir choisi "Stan"...

Les bons profs, ceux qui veulent élever le niveau, qui veulent transmettre, sont étouffés par la structure, par les parents mécontents, et ne peuvent, à terme, qu’abandonner et souffrir en silence de constater qu’une vocation ne peut survivre à une administration de nuisibles.

De toutes façons, ce sont des fascistes ! Qu’il faut faire taire…

Je suis d’une génération qui a eu le bonheur, et même l’honneur, d’avoir des profs de haut niveau, cultivés, compétents, pédagogues, et, je le précise, dans le public !

J’aime trop mon pays pour supporter cette nuisance continue de gens incompétents qui n’ont pour seuls talents que de savoir monter des dossiers contre leurs adversaires et remplir un carnet d’adresses !

Ensuite, ce sera, bien sûr, pour ces parasites, de la seule responsabilité, (de la culpabilité, n’est-ce pas ?), des entreprises de refuser d’embaucher des personnes mal formées, mal instruites et formatées politiquement.

Tant que nous n’aurons pas nettoyé les écuries d’Augias de ce système, tant qu’il n’y aura pas eu de révolution dans ce ministère, il n’y aura aucun espoir de relèvement de notre pays.

Et le grand suffisant poursuit son œuvre de destruction en écartant toute tentative de changement.

Il ne peut être assez stupide pour ne pas se rendre compte. Donc c’est forcément volontaire…

On ne peut décemment que se poser des questions *.

Vous me direz qu’il a suffisamment démontré sa haine de notre pays et des Français !

Il ne faut, tout de même, pas oublier qu’il est revenu dans la fonction publique en 2012, auprès de F. Hollande puis au ministère des finances, alors qu’il était associé-gérant de la banque Rothschild, où en un peu plus de 4 mois, il a activement participé à la négociation de la vente d’une filiale PFIZER à Nestlé.

12 milliards d’euros. Sans toucher de commission ? Article instructif à lire

Il existe, cependant, un mouvement, très minoritaire encore, qui souhaite régionaliser le système.

Ce changement permettrait aux responsables locaux de choisir leurs enseignants.

Une collectivité locale augmenterait ainsi son attractivité par une instruction de qualité.

Attractivité pour les entreprises mais également pour les enseignants de qualité, étouffés par une structure stalinienne, sinon Khmère !

C’est peut-être une voie d’espoir.

Mais jamais l’administration n’acceptera de perdre son pouvoir.

Il est si bon de faire plier son collaborateur avant de lui accorder l’honneur d’une promotion, n’est-ce pas ?

Il agissent, de même, à l’égard des parents qui n’ont pas les moyens financiers ou juridiques d’extraire leur enfant de l’établissement où il subit la coupe maladive de ces gens-là.

Le petit chef…  Et son petit chef qui a son petit chef, un peu plus grand, dont il veut la place au sein de l’organisation (presque mafieuse ?)…

Lorsqu'une classe, plutôt une caste se suffit à elle-même et ne retient que ceux qui sont utiles, cela s'appelle une cour et protège de toute relation toxique avec le peuple des "administrés", terme moderne pour "serfs".

Cela aboutit à l'utilisation abusive des FDO, à la création de textes de plus en plus liberticides (intégration dans le droit commun de l'état d'urgence sécuritaire en 2017, et sanitaire en 2020, par ex), ou de censure, à une administration d'achat des votes, et donc de plus en plus obèse, qui n'existe que pour étouffer le Peuple,  de la fin définitive des hommes politiques remplacés par des "hauts" fonctionnaires, une justice sélective, puis au terme de la colère du Peuple, qui n'est plus souverain que dans l'article 3 de la constitution, à un soulèvement qui sera maté dans le sang.

Jusqu'au jour où les FDO ne supporteront plus les ordres donnés.